
Les larmes
Elles ont jailli, salvatrices,
Diluant doucement
La souffrance invisible,
Emportant pour un temps,
Dans ces larmes amères,
Le chagrin, la misère
Que personne n’entend !
Elles ont jailli, salvatrices,
Diluant doucement
La souffrance invisible,
Emportant pour un temps,
Dans ces larmes amères,
Le chagrin, la misère
Que personne n’entend !
Une danse où mon pas, pourtant insignifiant,
Concourt à l’harmonie de ce tableau parfait…
Une ramille sensible au cœur de l’Univers,
Qui le temps d’une vie,
Fugace et incroyable,
S’émerveille du monde
Et s’inquiète pour lui…
Ainsi tel un enfant tyran
Qui martyrise ses parents,
L’IA pourrait nous échapper
Et asservir la terre entière…
Monstre né du cerveau d’un homme,
Le sien est la somme des nôtres,
Phagocytant notre pensée
Pour pouvoir mieux la pervertir.